750 grammes
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Vio et Sabzi

Vio et Sabzi
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30 septembre 2013

Graines germées – les premiers tests

Pour mon anniversaire, en juin, mon z'homme m'a offert un germoir à plusieurs étages. Je l'ai rapidement testé. C'est top !

Pour vous résumer rapidement les graines germées : ce sont des super-concentrés de bonnes choses. C'est comme d'avoir un mini-potager chez soi, ce qui pour moi est pratique vu que je suis en appartement et que mon balcon ne reçoit jamais de lumière directe (toute la journée à l'ombre).

Bref, j'ai d'abord testé les plus simples : les graines de soja, qui malheureusement ont viré tellement rapidement que je n'ai pas pu les manger. Oui, il faut tout de même faire attention, vu que les graines poussent dans l'humidité constante, elles peuvent facilement pourrir. Il faut être sur le coup (on ne les laisse pas toutes seules le week-end quoi).


Je me suis ensuite dit que j'allais faire du cresson, et là, cela a été beaucoup plus productif.

Bon, pour l'instant, je ne maîtrise pas grand chose. Je ne vous propose donc pas tout de suite de recette, mais cela ne tardera pas.

Je vous conseille simplement de ne pas faire n'importe quoi. Étant donné que les graines ont besoin de chaleur ambiante et d'humidité pour germer, il faut évidemment suivre les instructions des paquets de graine ou bien des germoirs afin de ne pas obtenir de bactéries en même temps que des pousses.

Et est-il nécessaire de vous dire de prendre des graines bios ?

Mais c'est là que c'est magique, les graines germées, vous n'avez pas forcément besoin d'acheter des graines spéciales à germer. Non ! Vous pouvez utiliser vos lentilles bios, vos graines de fenouil bio (et même de cumin), votre quinoa (rouge ou blanc), votre petit épeautre... Fabuleux non ?

Les possiblités sont infinies avec les graines germées, moi, j'ai hâte de m'en sortir un peu mieux pour épater la galerie avec mes super salades ou galettes vertes ! Vous pouvez aussi en saupoudrer un peu dans votre bol de soupe.

Personnellement, je recommande de les manger crues. Ce sont de super-aliments, bourrés de plein de bonnes choses. Inutile de tuer toutes ces bonnes choses avec une cuisson ou un mixage... Plus la structure est dénaturée, plus les enzymes vont s'en aller.

Amusez-vous bien !


Pour en savoir plus, je vous conseille le petit guide de l'Association des Végétariens de France : à lire ici.

La deuxième photo vous montre le résultat du cresson, que j'ai ensuite testé dans un taboulé maison. Miam ! Ça croque !

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27 septembre 2013

Doit-on encore manger des animaux ?, soirée Thema - Arte

Comme je l'ai expliqué, je souhaite partager des documentaires trouvé ça et là sur la toile, que je regarde généralement pendant ma pause de midi, à propos de l'alimentation santé et essentiellement du végétarisme (ou du moins des vidéos qui, moi, me confortent dans mes choix).

Aujourd'hui, il s'agit de la soirée spéciale Thema d'Arte, diffusée le 30 juillet 2013 et intitulée Doit-on encore manger des animaux ?

Ce documentaire m'a vraiment plu, j'espère qu'il vous intéressera.

Sur la toile, il a été découpé en 5 parties. Je n'ai pris que les trois premières, les deux dernières, contenant le débat et la vidéochat, ne me semblent pas d'une importante capitale.


À voir !

 

Doit-on encore manger des animaux ? 2-5 L'adieu au steak 2/2


26 septembre 2013

Soupe Brocoli, Poireaux et Curcuma

C'est quelque chose que je constate, depuis il y a 3 ans, quand je suis devenue peu à peu végétarienne : j'ai appris à réapprécier les légumes détestés de mon enfance (les courgettes, les choux de bruxelles et le BROCOLI).

Oui, à la base, je hais le brocoli. Et puis, vu que j'avais déjà surmonté mon aversion pour les courgettes (depuis la merveilleuse ratatouille de mon ancienne colocataire et la fabuleuse salade de crougettes crues d'une collègue), je me suis dit que le brocoli allait aussi y passer.

J'ai donc commencé doucement hier soir, avec une petite soupe. Rien de mieux que la soupe pour faire passer le goût d'un légume que l'on apprécie que très peu.

Et bien j'ai adoré !

Et il paraît que le brocoli aussi est excellent pour la santé. J'ai lu quelque part que, à poids égal, le brocoli renferme plus de vitamine C que l'orange ! Il jouit aussi d'une réputation anti-cancer et propose de belles et bonnes enzymes.

Bref, aimes le brocoli, et le brocoli t'aimera.

Note : je n'ai pas pris de photo après l'ajout du curcuma. La casserole va se colorer très fortement en orange, mais la soupe restera verte chlorophyle.

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Ingrédients

  • 1 brocoli
  • 2 blancs de poireaux (lavés et coupés en tronçon)
  • 2 petits navets (les petits sont bien meilleurs, à mon sens)
  • 1 pomme de terre (oui, si vous faites du sport après ; non, si c'est pour manger le soir)
  • 1 cuillerée à soupe de curcuma en poudre (bio, hein) : cela semble beaucoup, mais le goût est tout de même très léger et cela ne fait pas de mal, au contraire !

Exécution

Lavez le brocoli. Détaillez les fleurs de brocoli, exactement comme pour un chou-fleurs.

Lavez et coupez vos poireaux en tronçons.

Épluchez et coupez vos navets et votre pomme de terre en gros cubes.

Dans une grande casserole d'eau (oui, oui, on peut aussi les cuire dans une cocotte-minute, mais moi, j'en ai pas !), monter l'eau à ébullition et ajouter le bouillon de votre choix (moi, évidemment, c'est un bouillon de légumes bio).

Plongez vos légumes dans l'eau, baissez le feu pour maintenir un "court bouillon" (des petites bulles, pas d'ébullition trop forte).

Ajoutez la cuillerée à soupe de curcuma. Touillez pour mélanger.

Laissez cuire 20 minutes (surveillez la cuisson des navets et pomme de terre en plantant un la pointe d'un couteau).

Coupez le feu. Prélevez un bol d'eau de cuisson.

Égouttez les légumes puis placez les dans un saladier qui ne craint pas (pour le mixeur à bras, sinon versez les directement dans votre mixeur à bol).

Mixez les légumes et déliez votre soupe avec l'eau de cuisson préservée, à convenance.


Si vous trouvez que la soupe est trop fade, (vous aurez encore remarquer que je n'ai pas mis de sel), je vous conseille de la saler avec de la sauce soja. Ça évite le sel mais cela exausse quand même le goût.

Bon appétit !

25 septembre 2013

Champignons de Paris à l'asiatique et riz sauvage aux trois couleurs

J'ai lu quelque part que les champignons de Paris sont excellents pour la santé. (Je parle bien des bios hein... En règle général, je parle toujours des bios).

Non seulement, ils sont très antioxydants (et aident donc à prévenir beaucoup de maladies dégénératives, comme les cancers), mais ils sont aussi pleins de vitamines rares, comme celles du groupe B et la provitamine D, qui aide à fixer le calcium sur les os.

Bref, en plus d'être délicieux, ils sont très efficaces en ce qui concerne l'alimentation santé. Ajoutez à cela une céréale complète (le riz complet, par exemple), et le repas du midi "sur le pouce" est prêt !

Je n'ai malheureusement pas de photo des champignons mélangés avec le riz, j'ai dégusté ce plat au bureau, avec la batterie de mon portable à plat...

Je les ai testé "à l'asiatique", plutôt qu'au beurre/ail plus traditionnel, mais qui ne colle pas du tout avec mon intention de supprimer les produits laitiers de vache.

Voici donc pour vous une petite recette très facile à réaliser le soir, il suffit ensuite de les faire réchauffer 5 minutes à feu doux à la casserole au boulot (éviter le micro-ondes si vous pouvez, si vous n'avez pas le choix : 1 minute de cuisson et 1 minute de repos !).

Le riz sauvage complet est bien meilleur pour la santé que le riz blanc traité (type basmati, par exemple). En plus, il est vraiment meilleur ! Ça vaut le coup d'essayer non ?

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Ingrédients

  • un bol de champigons de Paris (je ne pèse jamais rien... Je me rends compte maintenant que pour une recette bloguée, ce n'est pas pratique, je le ferai à l'avenir)
  • un belle gousse d'ail
  • une grosse échalotte
  • une belle poignée de ciboule hachée (personnellement, j'ai acheté une botte entière que j'ai lavée et ciselée dès mon retour de course, placée dans un récipient adéquat et congelée illico-presto // on appelle aussi la ciboule "civette", ou "cive")
  • de la sauce soja (bio, hein)
  • de l'huile d'olive
  • un demi verre de riz sauvage complet

 

Exécution

Lavez les champigons comme suit : sous un filet d'eau froide, tenez votre champigon pied vers le bas (très important, ne retournez pas le champignon, sinon toute la terre va s'accumuler sous le chapeau) et enlevez les saletés délicatement avec vos doigts. Enlevez le pied et laissez le champigon reposer dauns un bol d'eau. Passez au suivant.

Coupez les chapeaux en quatre. Réservez-les.

Dans une poêle, à feu doux/moyen, faites rissoler dans un filet d'huile d'olive la gousse d'ail coupée en petit dés, l'échalotte ciselée et les rondelles de ciboule.

Une fois que l'ail, l'échalotte et la civette sont cuits, ajoutez les morceaux de champignons à la poêle. Là, il faut remuer assez souvent, pour éviter que les champignons ne brûlent. Concentrez vous et si vous sentez que cela chauffe trop vite, baissez le feu et versez un petit bouchon d'eau.

Les champignons réduisent de moitié. N'hésitez pas à goûter aussi souvent que nécessaire.

Une fois que les champigons vous semblent "presque cuits", ajouter un filet épais de sauce soja. Faites encore cuire jusqu'à réduction de moitié de ce filet de sauce soja. C'est prêt !

Pendant ce temps-là, dans une casserole, faites cuire votre riz aux trois couleurs. Là encore, peut importe la durée de cuisson recommandée, il faut goûter pour avoir une cuisson "à convenance". De toute façon, vous êtes à côté de votre plaque pour surveiller et remuer les champignons, alors profitez-en pour goûter aussi votre riz de temps en temps.

Bon appétit !

24 septembre 2013

Tian tomates et courgettes aux herbes de provence

Je crois que le titre est assez explicite, non ?

L'avantage du tian, c'est qu'on peut y mettre ce que l'on veut, tant que cela peut se couper en rondelles ou en tranches. Il s'agit également d'un plat qui peut se cuire au four de manière douce et lente, et donc ne pas "agresser" les légumes qu'on y met.

Pour moi, il s'agit d'un p'tit plat tout simple à préparer, mais très difficile à manger au boulot, vu que nous n'avons pas de four, ni de micro-ondes.

Un p'tit plat à préparer et déguster chez soi, donc, accompagné d'une céréale (orge, sarazin, riz complet...).

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Ingrédients (pour 2 à 3 personnes)

  • 1 grosse courgette ou 2 petites courgettes (bio)
  • 3 tomates (calibre moyen et bio)
  • des herbes de provences (bio, hein)
  • de l'huile d'olive (bio)
  • 1 gousse d'ail

Exécution

Préchauffer votre four à 150 °C.

Lavez bien les courgettes et les tomates.

Épluchez les courgettes (en laissant éventuellement un peu de peau, si elles sont bio). Ne les épépinez pas. Coupez-les ensuite en rondelles d'environ 1/2 centimètre.

Coupez les tomates en rondelles d'1 cm cette fois (elles vont rendre de l'eau).

Épluchez la gousse d'ail. Pensez à la couper en deux pour retirer le germe. Coupez ensuite chaque moitié en 2 pour obtenir 4 morceaux.

Dans un plat à gratin (moi, je n'avais qu'un plat à gratin ou à cake, je ne suis pas super équipée, mais cela ne compte pas) : alternez une rondelle de courgette et une rondelle de tomate. Tassez bien si vous le souhaitez, les légumes vont rendre leur eau.

Versez ensuite un filet d'huile d'olive sur votre préparation. Personnellement, je n'ai pas peur d'être généreuse en huile d'olive, les légumes ne doivent pas non plus s'assécher complètement.

Éparpillez les 4 morceaux d'ail dans la longeur. Saupoudrez d'herbes de provence (là encore, n'hésitez pas à être généreux).

Je n'utilise pratiquement jamais de sel dans ma cuisine, car j'ai pris l'habitude de supprimer le sel. Si vous souhaitez, c'est maintenant qu'il faut saler légèrement votre plat.

Enfournez à 150 °C (pas plus, il faut que la cuisson soit douce). Revenez contrôler 15 minutes après. Si vous trouvez que les légumes ont l'air desséché, ajoutez un tout p'tit peu d'eau (un bouchon).

Je ne précise pas souvent les temps de cuisson, parce que franchement, je ne fais pas attention. C'est au pif. Si vous sentez que c'est prêt, alors c'est que c'est prêt.

Bon appétit !

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23 septembre 2013

Salade de crudités, graines et Quinori

À mon boulot, il n'y a pas de micro-ondes, par principe. Chacun est libre de manger sur la terrasse ou dans le jardin, à son bureau ou à l'extérieur. Nous disposons d'un frigo et de deux plaques de cuisson. Cela laisse donc la porte ouverte à plein de petits plats bien sympas pour le midi.

En même temps, je vous dis ça, mais je n'ai pas tellement le choix, étant donné que le village où je travaille est VRAIMENT perdu et que le supermarché du coin (qui a un tout tout tout petit rayon bio et donc pas beaucoup de choix) est de toute façon fermé entre midi et deux.

Donc, il faut cuisiner. Soit se préparer sa p'tite salade à mettre au frigo, soit prévoir un p'tit plat à réchauffer à la casserole ou à la poêle pour manger chaud.

C'est en commençant ce nouveau travail que je me suis mise à faire de plus en plus de salades. Et dernièrement (c'est-à-dire, la dernière fois que j'ai pris un repas de midi en photo), c'était une salade de Quinori.

Le Quinori, je ne savais pas ce que c'était avant de tomber dessus par hasard, dans le rayon "Légumineuses" de mon supermarché bio.

Alors, c'est quoi encore ce nouveau "truc à lapin", comme dirait mon entourage en regardant mon sac de courses ?

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C'est un mélange de céréales et de légumineuses de la marque Priméal.
En voici la composition :

Quinoa rouge**, riz long complet précuit*, quinoa**, pois chiche*, sésame. *issu de l'agriculture biologique. **ingrédients issus du commerce équitable de Bolivie et de l'agriculture biologique (50%).

Franchement, c'est pas dégueu du tout !

La consistance est très agréable. Mais ça reste des céréales et des légumineuses à cuire. Bien évidemment que cuites à l'eau et mangées directement, cela reste assez fade (comme des pâtes seules et du riz cuit seul).

Le sachet de 500 g n'est pas très cher. Bon, c'est sûr, moi je cuisine pour une personne, voire deux quand mon homme me rend visite de l'autre bout de la France, alors c'est sûr, ce paquet va s'écouler lentement et je vais le rentabiliser. Il n'empêche, il n'est pas si cher que ça par rapport à d'autres mélanges.

Je regrette simplement que le sésame ne soit pas bio et qu'il n'y ait pas une autre sorte de riz (rouge par exemple) en plus du riz long complet.

Voici donc ma p'tite salade de crudités, graines et Quinori, pour une salade super équilibrée du midi.

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Il n'y a pas d'étape pour cette salade, il suffit de préparer les ingrédients chacun de son côté et de tout mélanger ensuite.

Salade de crudités, graines et Quinori :

  • 1 carotte coupée en rondelles ou demi-rondelles (selon les goût)
  • 1 grosse tomate coupée en cube
  • 5 ou 6 radis coupés en rondelles
  • 1/4 de concombre épépiné et coupé en cubes
  • 1 poignée de graines de courge
  • 1 poignée de graines de tournesol
  • 3 ou 4 brins de ciboulette
  • 1 dose de vinaigrette maison (cf. recette suivante)
  • 1 demi verre de Quinori cuit et refroidi

Vinaigrette maison :

Là encore, il suffit de bien mélanger.

  • 1 cuillerée à soupe de vinaigre balsamique
  • 1 cuillerée à soupe de vinaigre de cidre
  • 1 cuillerée à café d'huile d'olive extraite à froid
  • 1 cuillerée à café de moutarde douce ou de Savora (malheureusement, ce condiment n'existe pas en bio, alors si vous voulez faire du "tout bio", utilisez votre moutarde douce)
  • 1 pincée de sel aromatisé aux herbes
  • 2 ou 3 tours de poivre du moulin

(Ces proportions correspondent à trois doses pour trois repas-salades.)

Vous remarquerez peut-être que je n'ai mis ni épices ni herbes aromatiques dans cette salade. Je trouve que le mélange de crudités et de graines fonctionne très bien tout seul. J'ajoute des épices quand j'estime qu'il n'y a pas assez de saveur, mais là, la fraicheur des légumes et des vinaigres/huile suffit non ? Et l'assaisonnement vient aussi avec les radis plus ou moins corcés et les graines plus ou moins fortes.

En tout cas, c'est parfait pour le midi, et pour deux personnes si vous suivez les proportions que je vous ai indiquées. Je vous déconseille très fortement de congeler cette salade.

 

23 septembre 2013

Mais... Pourquoi tu ne manges plus de viande ? T'es une hippie ? Une bobo ? Une ecolo-trash ? Tu fais ton intéressante ?

Je ne vais pas m'expliquer. Je ne dirai pas pourquoi je ne mange plus de viande (ou dans de très très rares occasions), pourquoi je ne mange plus non plus de produits laitiers de vache, pourquoi je ne consomme que des produits bio (alimentation ET consommation).

Tout simplement parce que d'autres le disent bien mieux que moi (ça en revanche, je le dirai et je relayerai même ici tout ce qui me semblera intéressant).

Ici, je vais parler des découvertes, du bonheur de manger sain, des joies de la nouveauté, des plaisirs de lecture culinaire, des curiosités à tester, des recettes farfelues et des habitudes à avoir.

Mais aussi des difficultés rencontrées, des mélanges malheureux, des impératifs culinaires (oui, cela prend beaucoup de temps), des coups de gueule (toujours accompagnés des coups de cœur)...

Bref, mon aventure au pays du végétarisme et de la consommation responsable.

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